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Auteur

Étienne Beaumont

Le matin est tranquille dans le campement. Il n’y a pas de souris qui danse à l’extérieur. Faut quand même expliqué qu’il fait un froid de canard. À peu près -27 celsius. On est quand même bien dans les tentes, mais c’est loin d’être les bahamas. Disons que c’était notre épreuve du froid dans cette aventure sur le territoire du Triton. Tout le monde rêverait de cliquer des doigts et d’être rendu à destination, mais ce serait ne pas connaître les devoirs ou plutôt, les conditions de l’aventure. On ne peut pas reculer ou baisser les bras quand ça ne fait pas notre affaire, il faut regarder droit devant, prendre son petit change de courage et de persévérance et avancer d’un pas décidé. Pour plus de résultats, vous pouvez bien sur vous aidez de vos équipiers et vous nourrir du sourire de chacun d’eux. Dans le groupe, on ne lésine pas sur les sourires. On s’en donne à volonté sans rien demander. Bah, c’est sur que ça ne réchauffe pas nécessairement les orteils froides, mais ça fait un baume et ça nous rend plus fort. Atteler les chiens fut un vrai plaisir parce que le soleil a décidé de se pointer et de faire renverser la vapeur côté celsius. On était tout de même emmitoufflé comme des yaks, mais au moins, il y avait cette boule de lumière qui nous entonnait de se dégourdir. Le ciel était d’un bleu que l’on ne trouve pas dans les boîte de prismacolor. Un vrai de vrai sans nuage ni défaut. La journée s’annonçait difficile. Pas moins de 40 kilomètres de chiens de traîneaux. Mais avec un soleil et un entrain de la sortes, on savait que nous serions capable. Le départ prend son envol, puis on entre dans la forêt, on monte une côte, il faut aider les chiens en poussant un peu le traîneaux, puis une pente, puis un lac (un magnifique lac), puis le vent qui nous caresse le visage de sa main glacial, puis le boisé et ainsi de suite comme une chanson qu’on ne se lasse pas d’entendre. Un arrêt subite nous fait penser qu’il y a un petit problème à l’avant. C’est bien ce qu’on pensait, un petit pépin. Un léger bris sur le traîneau. Puis, plus tard, un autre arrêt. Une petit embardé. La corde entre les chiens et le traîneau s’est rompu et les chiens ont pris la poudre d’escampette. Ouf! On les retrouve plus loin et on fait les réparations qui s’imposent. Plus tard, un autre arrêt pour faire des modifications dans les équipes de chiens. Il n’y a pas que chez le Canadiens de Montréal qu’on effectue des changements. Puis on repart et ainsi de suite dans le meilleur des mondes. C’est un peu ça notre belle routine. Elle est parfois dure, parfois froide, rempli d’impondérable, mais je vous assure qu’à chaque fois que l’on regarde dans les yeux de nos jeunes, il y a cette fierté, grande comme le monde comme si dans cet instant, ils voulaient crier…J’ai réussit. Ce sont de véritables champions. Notre journée se termine au lac biscuit où nous attend un grand chalet (et un majestueux foyer). Nous y serons vraiment confortable. On peut dire qu’on ne l’aura pas volé. La guitare s’émoustille de plaisir, car elle pourra enfin être utilisé. Le reste vous sera raconté lorsque les chansons se seront tu et qu’une autre journée se pointera le bout du nez. Merci de nous suivre, les jeunes apprécient beaucoup. Vous êtes tous dans nos cœurs et dans nos pensées.

Atteler les chiens fut un vrai plaisir parce que le soleil a décidé de se pointer et de faire renverser la vapeur côté celsius. On était tout de même emmitoufflé comme des yaks, mais au moins, il y avait cette boule de lumière qui nous entonnait de se dégourdir. Le ciel était d’un bleu que l’on ne trouve pas dans les boîte de prismacolor. Un vrai de vrai sans nuage ni défaut. La journée s’annonçait difficile. Pas moins de 40 kilomètres de chiens de traîneaux. Mais avec un soleil et un entrain de la sortes, on savait que nous serions capable. Le départ prend son envol, puis on entre dans la forêt, on monte une côte, il faut aider les chiens en poussant un peu le traîneaux, puis une pente, puis un lac (un magnifique lac), puis le vent qui nous caresse le visage de sa main glacial, puis le boisé et ainsi de suite comme une chanson qu’on ne se lasse pas d’entendre. Un arrêt subite nous fait penser qu’il y a un petit problème à l’avant. C’est bien ce qu’on pensait, un petit pépin. Un léger bris sur le traîneau. Puis, plus tard, un autre arrêt. Une petit embardé. La corde entre les chiens et le traîneau s’est rompu et les chiens ont pris la poudre d’escampette. Ouf! On les retrouve plus loin et on fait les réparations qui s’imposent. Plus tard, un autre arrêt pour faire des modifications dans les équipes de chiens. Il n’y a pas que chez le Canadiens de Montréal qu’on effectue des changements. Puis on repart et ainsi de suite dans le meilleur des mondes. C’est un peu ça notre belle routine. Elle est parfois dure, parfois froide, rempli d’impondérable, mais je vous assure qu’à chaque fois que l’on regarde dans les yeux de nos jeunes, il y a cette fierté, grande comme le monde comme si dans cet instant, ils voulaient crier…J’ai réussit. Ce sont de véritables champions.

Notre journée se termine au lac biscuit où nous attend un grand chalet (et un majestueux foyer). Nous y serons vraiment confortable. On peut dire qu’on ne l’aura pas volé. La guitare s’émoustille de plaisir, car elle pourra enfin être utilisé. Le reste vous sera raconté lorsque les chansons se seront tu et qu’une autre journée se pointera le bout du nez. Merci de nous suivre, les jeunes apprécient beaucoup. Vous êtes tous dans nos cœurs et dans nos pensées.

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